jueves, 27 de noviembre de 2014

TRADUCCIÓN AL FRANCÉS DEL GUIÓN "EJÉRCITO DE LIBERTADORES"

Escrito por:
Teniente Coronel Edgar Alejandro Lugo Pereira

Especialista en Historia Militar
IAEDEN, noviembre, 2014
 
I
Dans son exil à la Nouvelle-Grenade consécutif à la capitulation du gouvernement républicain vénézuélien de 1812, Bolívar s’est mis à la recherche d’appui et de coopération afin de pouvoir retourner à son pays natal. 
II
Dans son Manifeste de Carthagèna, non seulement il rend compte de la situation actuelle, mais il expose aussi son plan d’action au gouvernement colombien et sa stratégie opérationnelle.

III
“La Nouvelle-Grenade ayant assisté à la chute du Venezuela, elle faut donc éviter les écueils qui ont provoqué ce désastre.  À cet effet, je présente la reconquête de Caracas comme une mesure indispensable à la sécurité de la Colombie. Au premier abord, ce projet parut irraisonnable, coûteux et peut-être irréalisable, mais médité profondément en un examen attentif et prévoyant, il se révéla impossible tant d’ignorer sa nécessité que de retarder son exécution reconnue utile”. 
IV
Dans ce Manifeste, Bolivar démontre l’absolue nécessité de reconquérir sa terre natale afin de garantir la liberté de la Nouvelle-Grenade. Son analyse militaire a donc un caractère très prémonitoire, telle qu’il la présente lors du Serment de Rome, sept ans plus tôt et deux ans plus tard, dans son exil dans l’Ile de la Jamaïque. 
V
Serment du Mont Sacré:
“Je jure devant de vous, je jure sur le Dieu de mes parents, je jure sur eux, je jure sur mon honneur de ne jamais laisser ni répit à mon bras, ni repos à mon âme, tant que je n’aurai pas brisé les chaînes qui nous oppriment par la volonté du pouvoir espagnol”.  
VI
Bolívar est accueilli en une manière negative. Et pour lui rejeter l’on est envoyé a un post militaire situé à le Bas Magdalena, commandant une troupe, mais non plus de une centaine de soldats.
“Cet colonel Bolívar me met à bout ! Le président Camilo Torres m’a donné l’ordre de m’occuper de cet caraqueño battu. Et c’est complet: je doit aussi lui fournir un détachement !!! 
VII
Néanmoins, avec beaucoup d’astuce, dans un peu moins d’un mois de campagne il a reprise le contrôle sur une grande partie de cet territoire, arrivant à la ville d’Ocaña pour commencer aussi une autre journeé depuis la ville de Cúcuta jusqu’ à San Cristóbal, déjà sur le territoire vénézuélien. 
VIII
Tous arrive sous le surprise tant de royalistes que patriotes neogranadinos et vénézuéliens, qui nagés dans l’émotion, s’y ajoutent à la cause du general Bolívar au cent, aspirant des victoires et grands revanches. Rien comme celle-ci avait advenu à cettes troupes libératrices. 
IX
Le Congrès de la Nouvelle-Grenade, reuni en Tunja, et présidé par le docteur Camilo Torres, donne la nécessaire autorisation de conduir opérations militaires, en particulier de la province de Merida à la ville de Trujillo, malgré l’opposition de fer du brigadier Manuel Castillo qui était le commandant direct sur Bolívar, et d’un unconnu sergent major Francisco de Paula Santander, qui peut-être est guidé par l’envie. Cela permet de commencer des opérations militaires de Cúcuta vers San Antonio del Tachira, en sorte que le but estratégique militaire est obtenu: la prise de Caracas. 
Finalement, le 7 mai, Bolívar reçoit, en le quartier général de Cúcuta, la autorisation de commencer des operations militaires que sont aujourd’hui connues comme la Campagne Admirable, laquelle est ainsi nommé pour le nombreuse quantité de victoires militaires obtenu, et par le temps si court, à peine de quatre-vingt-dix jours. De cette manière le but stratégique militaire est accompli: la prise de Caracas.  
X
Le 14 may, l’Armée dirigée par Simón Bolívar est sorti vers la frontière du Venezuela, en San Antonio del Táchira. Il est accompagné par très éclatants officiers grenadiens et vénézuéliens. À la avant-garde va le colonel Girardot et le colonel Ricaurte; et l’arriere-garde est à la charge de les vénézuéliens José Félix Ribas et Rafael Urdaneta, disposant 300 hommes, et vient aussi un nombre non precisé de femmes. On les appelait “las Joannes”, en nos histoire.  
XI

Le nom de “las Joannes”, la tradition dit, nous vient d’une héroïne de Merida qui sui la cause de ses trois fils qui sont unis a l’Armée Libératrice. Elle va avec eux, s’occupe de ses repas, et les attendre ses besoins, même que beaucoup de femmes, lesquelles venaient avec cettes armées en ces temps. 
Cettes femmes, souvent prirent les armes et combattirent en faveur de l’indépendance; aprés ils passeront sous silence à faire services medicals, à attendre les tués, en plus de les tâches quotidiennes de cuisine et s’occuper de les vêtements. Cettes glorieux femmes qui se consacraient anonymes sont les soldats unconnues qui, selon Eduardo Galeano, jamais seront pensionnaires, mais tous faisaient partie à côté de nos soldats.  
XII
  
Aussitôt, Bolívar le 30 mars reçoit la désirée autorisation pour réaliser des opérations tactiques sur une grande échelle dans territoire vénézuélien, et s’en va appeler cette action: Campagne Admirable. 
XIII
 
À vrai dire, cettes troupes, pour le citoyen ordinaire, qui les voix déchaussés, dépourvues, sans autre droit que respirer l’air et mourir de faim comme l’unique consolation, celles-ci  sont une manifestation remplie de simplicité mais pleine de grande admiration. C’est, tout de fait et de droit, une Armée de Libérateurs appuiée et acclamée à chaque instant et endroit.
 

XIV
Le 23 mai 1813, en arrivant à Mérida, Bolívar est acclamé comme “Liberateur” par le peuple; ce qui fut la première fois oû cet nomme est lui donné. Le Conseil municipal de cette ville, presidé par don Luis María Rivas, en séance solennelle, lui salue avec cettes paroles:
“Gloire au Armée Libératrice et gloire au Venezuela qui vous donna l’être, citoyen Général ! Que votre main infatigable soit toujours victorieuse brissant  des chaînes, que votre présence soit le terreur de tous les tyrans, et quelque jour toute la terre de la Colombie dise: Bolívar vengea nos affronts !...[3] 
XV

 
Le 14 juin Bolívar était arrivé a la ville de Trujillo. Le lendemain, après de longue méditation, il décréte la Proclamation de la Guerre à mort, controversé document  justifiant de Bolívar et sa conduite militaire, devant la manifeste cruauté commi par les royalistes commandés par le capitaine de frégate, Domingo de Monteverde.  
Cette proclamation tire au claire que des espagnols et cannariens sont menacé de mort, à moins que ils agissent activement pour la Indépendance de la Amérique; et l’on garantit la vie aux américains parce que ils sont citoyens de cette grande patrie, la Amérique. Cela fera l’effet désiré, c’est-à-dire, effrayer à l‘uns et pousser  pour l’autres afin de s’unir a la lute par l’indépendance. 
XVI
Cette proclamation établi que des espagnols et cannariens auraient la mort, a moins de participer de nos indépendance, si encore soients indifférents; mais l’on garantit la vie aux vénézuéliens comme citoyens de cette grande patrie, l’Amérique. Cet coup magistral du discour, fera l’effet désiré, parce que effraya à l‘uns de faire actions nocives et poussa aux autres de participer à la liberté américaine.
 
XVII
Le 2 juillet 1813, l’Armée Libératrice, avec la Division commandé par José Félix Ribas et Rafael Urdaneta, se lutte contre les espagnols et les batte en Niquitao. Peu de jours après il y a une autre bataille en Los Horcones, lequel signifie un nouveau triomphe pour les armes patriotes. De là le chemin vers San Carlos est ouvert et permet au Libérateur replacer su État-major et son poste de commandement dans cette ville. Les espagnols lutteront avec toutes ses forces, et c‘est la Bataille de Taguanes, action décisive de cette campagne, où le capitain de frigate Domingo de Monteverde, espagnol, est vaincu, et doit se retirer vers Puerto Cabello; le chemin est prêt donc pour la prise de la ville de Valencia. 
XVIII
 
Le 2 août le Libérateur entra dans Valencia, au milieu de la frénésie du peuple. Là y il installe comme Gouvernant Militaire à le lieutenant-colonel Girardot, et aussitôt avec troupes de celui-ci et du lieutenant-colonel Urdaneta poursuivre vers son objectif principal, la ville de Caracas.
XIX
Bolívar entrait en triomphe à Caracas le 7 aôut 1813. Ce qui rest derrière soi est un chef-d’œuvre de planification et génie militaires d’un homme, qu’est simplement Admirable. 
Dès lors on produit ainsi une série de événements que s’affermiraient en la formation d’une grande Armée de Libérateurs laquelle portera des étendards de la liberté, la égalité et la justice pour toujours.
 
F I N
 


[1] Manifiesto de Cartagena.
[2]  Tomado de la Gaceta ministerial de Cundinamarca, N° 125, de 29 de julio de 1813.
[3]  Tomado de la Gaceta ministerial de Cundinamarca, N° 125, de 29 de julio de 1813.

jueves, 20 de noviembre de 2014

Una reflexíon más

Ley Volstead: Explico brevemente.
 
En 1919, se decretó en los EE.UU, la prohibición absoluta de  venta, distribución, elaboración y consumo de bebidas alcohólicas, esto generó de inmediato un incremento despiadado de la violencia propiciada por las mafias que dominaron el contrabando y distribución de licores, el enriquecimiento ilícito de policías y funcionarios gubernamentales permisivos y el incremento de la prostitución, trata de personas, drogas y los juegos de envite y azar.
 
El licor se convirtió en el oro líquido que hizo florecer a una economía depauperada y empobrecida conociéndose este periodo como los locos años 20. Lo que traería como consecuencia, hambruna y enfermedades sobre una población sin asistencia social, muriendo cientos de miles de personas en su mayoría niños y niñas por polio y desnutrición y favoreciendo a las grandes corporaciones industriales a posicionarse como emporios absolutos de poder y riqueza sin límites imponiendo de facto, la política del mundo hoy en día aún dominada por Wall Street.
 
Ahora bien, hagamos un paralelismo responsable sobre tan particular asunto histórico y lo que esta enseñanza representa para la República Bolivariana de Venezuela en momentos cruciales como este.
 
Me enfocaré en el aumento de los aranceles tributarios sobre el licor nacional e importado consumido en este país y sus consecuencias. Estamos permitiendo que nuevas mafias del contrabando insurjan en el escenario ya de por si controlado por las mafias de los combustibles, lo cual traerá inmediatamente nuevas formas de vulnerar la ley y por ende, la aparición de centenares de activistas en pro de su distribución violando precisamente los controles ya impuestos.
 
Señoras y señores, estamos jugando con una materia denominada "VICIO" que no es otra cosa que la pérdida de la sindéresis por satisfacer una necesidad de consumir algo prohibido, aclaro, no se trata de la prohibición del consumo de bebidas espirituosas y carnestolendas, es que quienes toman whisky del bueno por decirlo así, no van a querer dejar de tomarlo  y es en este punto de inflexión humano, que se empezará a cotizarse este licor de manera desproporcionada relacionado directamente con la demanda, y el contrabando de whisky será en el nuevo Boardwalk Empire criollo, les invito a ver esta serie de HBO, y saquen sus conclusiones.
 
No busco con estas apreciaciones levantar hojarascas del piso y causar prurito en otras pieles; sin embargo, aprendamos un poco de las enseñanzas históricas, las cuales nos advierten de otras épocas los errores a evitar. "EL ARREPENTIMIENTO Y LA MUERTE NO TIENEN SEGUNDA OPORTUNIDAD". En momentos de crisis, las decisiones mal asesoradas y mal conducidas, nos traen desgracia, desesperanza y muerte, en sociedades debilitadas por no perfilar y responsabilizarse de su propia historia.

domingo, 9 de noviembre de 2014

"dziękuję"

Muchas gracias a mis lectores de la República de Polonia, estoy muy feliz de tenerlos en mis estadísticas como los de mayor crecimiento dentro de mis "CUENTOS HISTÓRICOS DESENCAJADOS".