
miércoles, 31 de diciembre de 2014
sábado, 13 de diciembre de 2014
Sociedad Divulgadora de la Historia Militar de Venezuela celebró su 44º Aniversario con emotivo acto en la Academia Militar del Ejército Bolivariano.
Sociedad Divulgadora de la Historia Militar de Venezuela celebró su 44º
Aniversario con emotivo acto en AMEB.
Prensa AMM (Caracas,
12 de diciembre de 2014).- Con un emotivo acto central en el Gran Hall de la
Academia Militar del Ejército Bolivariano, la directiva de la Sociedad
Divulgadora de la Historia Militar de Venezuela, encabezada por su presidente el Cnel. (R). Prudencio Méndez,
celebró su 44º Aniversario, con unas emotivas palabras que recordaron el
trabajo, dedicación, mística y difusión de los testimonios que a lo largo del tiempo han creado gran parte
de la historia de nuestros pueblos, auspiciando la investigación científica,
cultural, histórica y educativa en pro de la preservación de los principios y
valores que sustentan a nuestra F.A.N.B.
También fue
propicia la ocasión para oficiar una Santa Misa, seguida de imposición de
Medallas, Botones y Barra de Honor a Divulgadores Históricos, entre los que
podemos mencionar al coordinador de la Maestría en Historia Militar del
Instituto de Altos Estudios para la Defensa Nacional, Dr. y CN. Carlos Sánchez
Caparrós, de igual manera a la Ms. Mitsy Bornia Moncada de Morera y el Tcnel
(R). Edgar Lugo Pereira ambos investigadores, pertenecientes a la producción
audiovisual Ejército de Libertadores, que fuera estrenada en el Teatro de la
Casa de los Sueños Azules, (AMEB).
La información
la dio a conocer el propio presidente de la Sociedad Divulgadora de la Historia
Militar de Venezuela, Cnel. (R). Prudencio Méndez, quién junto al
vicepresidente Serapio Romero Mendoza, se mostraron complacidos por el trabajo
realizado, y a la vez ofrecieron un conversatorio a los presentes sobre el
legado del Libertador Simón Bolívar.
La Sociedad
Divulgadora de la Historia Militar de la República Bolivariana de Venezuela
viene desempeñando una serie de funciones, entre las cuales destacan las
investigaciones históricas estructuradas para la búsqueda y divulgación de
documentos, sucesos heroicos, fechas patrias, y el rescate de la tradición de aquellos
personajes inéditos en el acontecer regional y nacional.
Imposición del Botón de Honor al Divulgador Histórico Militar, al Especialista en Historia Militar Teniente Coronel Edgar Alejandro Lugo Pereira.
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Imposición del Botón de Honor a la Divulgadora Histórico Militar Magister en Historia Militar Mitsy Bornia Moncada de Morera.
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Ofrenda floral al Padre de la Patria "El Libertador Simón Bolívar". |
jueves, 27 de noviembre de 2014
TRADUCCIÓN AL FRANCÉS DEL GUIÓN "EJÉRCITO DE LIBERTADORES"
Escrito por:
Teniente Coronel Edgar Alejandro Lugo Pereira
Especialista en Historia Militar
IAEDEN, noviembre, 2014
I
Dans son exil à la
Nouvelle-Grenade consécutif à la capitulation du gouvernement républicain
vénézuélien de 1812, Bolívar s’est mis à la recherche d’appui et de coopération
afin de pouvoir retourner à son pays natal.
II
Dans son Manifeste de Carthagèna, non seulement il rend
compte de la situation actuelle, mais il expose aussi son plan d’action au
gouvernement colombien et sa stratégie opérationnelle.
III
“La Nouvelle-Grenade ayant
assisté à la chute du Venezuela, elle faut donc éviter les écueils qui ont
provoqué ce désastre. À cet effet, je
présente la reconquête de Caracas comme une mesure indispensable à la sécurité
de la Colombie. Au premier abord, ce projet parut irraisonnable, coûteux et
peut-être irréalisable, mais médité profondément en un examen attentif et
prévoyant, il se révéla impossible tant d’ignorer sa nécessité que de retarder
son exécution reconnue utile”.
IV
Dans ce Manifeste, Bolivar
démontre l’absolue nécessité de reconquérir sa terre natale afin de garantir la liberté de la Nouvelle-Grenade.
Son analyse militaire a donc un caractère très prémonitoire, telle qu’il la
présente lors du Serment de Rome, sept ans plus tôt et deux ans plus tard, dans
son exil dans l’Ile de la Jamaïque.
V
Serment
du Mont Sacré:
“Je jure devant de vous, je
jure sur le Dieu de mes parents, je jure sur eux, je jure sur mon honneur de ne
jamais laisser ni répit à mon bras, ni repos à mon âme, tant que je n’aurai pas
brisé les chaînes qui nous oppriment par la volonté du pouvoir espagnol”.
VI
Bolívar est accueilli en une
manière negative. Et pour lui rejeter l’on est envoyé a un post militaire situé
à le Bas Magdalena, commandant une troupe, mais non plus de une centaine de
soldats.
“Cet colonel Bolívar me met à bout ! Le
président Camilo Torres m’a donné l’ordre de m’occuper de cet caraqueño battu. Et c’est complet: je doit aussi lui fournir un
détachement !!!
VII
Néanmoins, avec beaucoup
d’astuce, dans un peu moins d’un mois de campagne il a reprise le contrôle sur une grande partie de cet
territoire, arrivant à la ville d’Ocaña pour commencer aussi une autre journeé
depuis la ville de Cúcuta jusqu’ à San Cristóbal, déjà sur le territoire
vénézuélien.
VIII
Tous arrive sous le surprise
tant de royalistes que patriotes neogranadinos et vénézuéliens, qui nagés dans
l’émotion, s’y ajoutent à la cause du general Bolívar au cent, aspirant des
victoires et grands revanches. Rien
comme celle-ci avait advenu à cettes troupes libératrices.
IX
Le
Congrès de la Nouvelle-Grenade, reuni en Tunja, et présidé par le docteur
Camilo Torres, donne la nécessaire autorisation de conduir opérations
militaires, en particulier de la province de Merida à la ville de Trujillo, malgré l’opposition de fer
du brigadier Manuel Castillo qui était le commandant direct sur Bolívar, et
d’un unconnu sergent major Francisco de Paula Santander, qui peut-être est guidé par l’envie. Cela permet de
commencer des opérations militaires de Cúcuta vers San Antonio del Tachira, en
sorte que le but estratégique militaire est obtenu: la prise de Caracas.
Finalement, le 7 mai,
Bolívar reçoit, en le quartier général de Cúcuta, la autorisation de commencer
des operations militaires que sont aujourd’hui connues comme la Campagne
Admirable, laquelle est ainsi nommé pour le nombreuse quantité de victoires
militaires obtenu, et par le temps si court, à peine de quatre-vingt-dix jours.
De cette manière le but stratégique militaire est accompli: la prise de
Caracas.
X
Le 14 may, l’Armée dirigée
par Simón Bolívar est sorti vers la frontière du Venezuela, en San Antonio del
Táchira. Il est accompagné par très éclatants officiers grenadiens et
vénézuéliens. À la avant-garde va le colonel Girardot et le colonel Ricaurte;
et l’arriere-garde est à la charge de les vénézuéliens José Félix Ribas et
Rafael Urdaneta, disposant 300 hommes, et vient aussi un nombre non precisé de
femmes. On les appelait “las Joannes”, en nos histoire.
XI
Le nom de “las Joannes”, la tradition dit, nous
vient d’une héroïne de Merida
qui sui la cause de ses trois fils qui sont unis a l’Armée Libératrice. Elle va
avec eux, s’occupe de ses repas, et les attendre ses besoins, même que beaucoup de femmes, lesquelles venaient
avec cettes armées en ces temps.
Cettes femmes, souvent prirent les armes et combattirent en faveur de
l’indépendance; aprés ils passeront sous silence à faire services medicals, à attendre les
tués, en plus de les tâches quotidiennes de cuisine et s’occuper de les vêtements. Cettes glorieux femmes qui se consacraient anonymes sont les soldats
unconnues qui, selon Eduardo Galeano, jamais seront pensionnaires, mais tous
faisaient partie à côté de nos soldats.
XII
Aussitôt, Bolívar le 30 mars
reçoit la désirée autorisation pour réaliser des
opérations tactiques sur une grande échelle dans territoire vénézuélien, et
s’en va appeler cette action: Campagne
Admirable.
XIII
À vrai dire, cettes troupes,
pour le citoyen ordinaire, qui les voix déchaussés, dépourvues, sans autre
droit que respirer l’air et mourir de faim comme l’unique consolation, celles-ci sont une manifestation remplie de simplicité
mais pleine de grande admiration. C’est, tout de fait et de droit, une Armée
de Libérateurs appuiée et acclamée à chaque instant et endroit.
XIV
Le
23 mai 1813, en arrivant à
Mérida, Bolívar est acclamé comme “Liberateur” par le peuple; ce qui fut la
première fois oû cet nomme est lui donné. Le Conseil municipal de
cette ville, presidé par don Luis María Rivas, en séance solennelle, lui salue
avec cettes paroles:
“Gloire au Armée Libératrice et gloire au
Venezuela qui vous donna l’être, citoyen
Général ! Que votre main infatigable soit toujours victorieuse brissant des chaînes, que
votre présence soit le terreur de tous les tyrans, et quelque jour toute la
terre de la Colombie dise: Bolívar vengea nos affronts !...[3]
XV
Le 14 juin Bolívar était
arrivé a la ville de Trujillo. Le lendemain, après de longue méditation, il décréte la
Proclamation de la Guerre à
mort, controversé document justifiant de
Bolívar et sa conduite militaire, devant la manifeste cruauté commi par les
royalistes commandés par le capitaine de frégate, Domingo de Monteverde.
Cette proclamation tire au
claire que des espagnols et cannariens sont menacé de mort, à moins que ils agissent activement pour la
Indépendance de la Amérique; et l’on garantit la vie aux américains parce que
ils sont citoyens de cette grande patrie, la Amérique. Cela fera l’effet
désiré, c’est-à-dire, effrayer à l‘uns et pousser
pour l’autres afin de s’unir a la lute par l’indépendance.
XVI
Cette proclamation établi
que des espagnols et cannariens auraient la mort, a moins de participer de nos
indépendance, si encore soients indifférents; mais l’on garantit la vie aux
vénézuéliens comme citoyens de cette grande patrie, l’Amérique. Cet coup
magistral du discour, fera l’effet désiré, parce que effraya à l‘uns de faire actions nocives et poussa aux
autres de participer à
la liberté américaine.
XVII
Le 2 juillet 1813, l’Armée
Libératrice, avec la Division commandé par José Félix Ribas et Rafael Urdaneta,
se lutte contre les espagnols et les batte en Niquitao. Peu de jours après il y a une autre bataille en Los Horcones,
lequel signifie un nouveau triomphe pour les armes patriotes. De là le chemin vers San Carlos est ouvert et permet
au Libérateur replacer su État-major et son poste de commandement dans cette
ville. Les espagnols lutteront avec toutes ses forces, et c‘est la Bataille de
Taguanes, action décisive de cette campagne, où le capitain de frigate Domingo de Monteverde,
espagnol, est vaincu, et doit se retirer vers Puerto Cabello; le chemin est prêt donc pour la prise de la ville de Valencia.
XVIII
Le 2 août le Libérateur entra dans Valencia, au milieu de
la frénésie du peuple. Là y il
installe comme Gouvernant Militaire à le lieutenant-colonel Girardot, et aussitôt avec
troupes de celui-ci et du lieutenant-colonel Urdaneta poursuivre vers son objectif
principal, la ville de Caracas.
XIX
Bolívar
entrait en triomphe à
Caracas le 7 aôut 1813. Ce qui
rest derrière soi est un
chef-d’œuvre de planification et génie militaires d’un homme, qu’est simplement
Admirable.
Dès lors on produit ainsi une série de événements
que s’affermiraient en la formation d’une grande Armée de Libérateurs laquelle
portera des étendards de la liberté, la égalité et la justice pour toujours.
F I N
jueves, 20 de noviembre de 2014
Una reflexíon más
Ley Volstead: Explico brevemente.
En 1919, se decretó en los EE.UU, la prohibición absoluta de venta, distribución, elaboración y consumo de bebidas alcohólicas, esto generó de inmediato un incremento despiadado de la violencia propiciada por las mafias que dominaron el contrabando y distribución de licores, el enriquecimiento ilícito de policías y funcionarios gubernamentales permisivos y el incremento de la prostitución, trata de personas, drogas y los juegos de envite y azar.
El licor se convirtió en el oro líquido que hizo florecer a una economía depauperada y empobrecida conociéndose este periodo como los locos años 20. Lo que traería como consecuencia, hambruna y enfermedades sobre una población sin asistencia social, muriendo cientos de miles de personas en su mayoría niños y niñas por polio y desnutrición y favoreciendo a las grandes corporaciones industriales a posicionarse como emporios absolutos de poder y riqueza sin límites imponiendo de facto, la política del mundo hoy en día aún dominada por Wall Street.
Ahora bien, hagamos un paralelismo responsable sobre tan particular asunto histórico y lo que esta enseñanza representa para la República Bolivariana de Venezuela en momentos cruciales como este.
Me enfocaré en el aumento de los aranceles tributarios sobre el licor nacional e importado consumido en este país y sus consecuencias. Estamos permitiendo que nuevas mafias del contrabando insurjan en el escenario ya de por si controlado por las mafias de los combustibles, lo cual traerá inmediatamente nuevas formas de vulnerar la ley y por ende, la aparición de centenares de activistas en pro de su distribución violando precisamente los controles ya impuestos.
Señoras y señores, estamos jugando con una materia denominada "VICIO" que no es otra cosa que la pérdida de la sindéresis por satisfacer una necesidad de consumir algo prohibido, aclaro, no se trata de la prohibición del consumo de bebidas espirituosas y carnestolendas, es que quienes toman whisky del bueno por decirlo así, no van a querer dejar de tomarlo y es en este punto de inflexión humano, que se empezará a cotizarse este licor de manera desproporcionada relacionado directamente con la demanda, y el contrabando de whisky será en el nuevo Boardwalk Empire criollo, les invito a ver esta serie de HBO, y saquen sus conclusiones.
No busco con estas apreciaciones levantar hojarascas del piso y causar prurito en otras pieles; sin embargo, aprendamos un poco de las enseñanzas históricas, las cuales nos advierten de otras épocas los errores a evitar. "EL ARREPENTIMIENTO Y LA MUERTE NO TIENEN SEGUNDA OPORTUNIDAD". En momentos de crisis, las decisiones mal asesoradas y mal conducidas, nos traen desgracia, desesperanza y muerte, en sociedades debilitadas por no perfilar y responsabilizarse de su propia historia.
domingo, 9 de noviembre de 2014
"dziękuję"
Muchas gracias a mis lectores de la República de Polonia, estoy muy feliz de tenerlos en mis estadísticas como los de mayor crecimiento dentro de mis "CUENTOS HISTÓRICOS DESENCAJADOS".
viernes, 31 de octubre de 2014
jueves, 30 de octubre de 2014
domingo, 26 de octubre de 2014
ENTREVISTA AL TENIENTE CORONEL EDGAR ALEJANDRO LUGO PEREIRA, ESPECIALISTA EN HISTORIA MILITAR EN EL PROGRAMA "DIALOGO DE SABERES" POR LA TELEVISORA VIVE TV DE LA REPÚBLICA BOLIVARIANA DE VENEZUELA
Conmemoración del 191 Aniversario de la Batalla de Carabobo y celebración del Día del Ejército Libertador Bolivariano, acontecida el 24 de junio de 1821, donde se consolida definitivamente la libertad de la República de Venezuela, abriendo paso definitivo a la Campaña del Sur, evento militar que llevaría al Libertador Simón Bolívar, el Estado Mayor Libertador y al Ejército Libertador, convertido en un ejército multinacional, a liberar definitivamente a la Nueva Granada, La Provincia de Quito (hoy República de Ecuador), Perú y propiciaría la creación de Bolivia.
sábado, 25 de octubre de 2014
Galeria fotografica de la producción del documental "EJÉRCITO DE LIBERTADORES"
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PREPARACIÓN DE LA CARGA DE CABALLERIA |
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MOMENTOS DE LA CARGA DE CABALLERIA |
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!A LA CARGA PATRIOTAS¡ |
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PASAJE DE LA CARGA DE CABALLERIA |
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CASI NOS ATROPELLAN |
BUSCANDO LOS MEJORES ANGULOS
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SUPERVISANDO QUE TODO SALIERA BIEN |
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FUERON COMO QUINCE CARGAS PARA LOGRAR LAS MEJORES IMAGENES |
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OTRA CARGA MÁS |
DEVUELVETE
LOS CABALLOS SUDABAN COPIOSAMENTE
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EL GENERAL JOSÉ FELÍX RIBAS |
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EL EQUIPO DE PRODUCCIÓN EN PLENO PROCESO DE AFINAR DETALLES |
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AFINANDO DETALLES |
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MITZY Y YO CON PARTE DE SU EQUIPO DE REALIZADORES |
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EL GENERAL DE BRIGADA MORERA, REALIZANDO LAS COORDINACIONES NECESARIAS PARA DEJAR A PUNTO, EL INICIO DE LAS FILMACIONES EN EL TERRENO |
jueves, 16 de octubre de 2014
Presentado documental “Ejército de Libertadores”
Presentado documental “Ejército de Libertadores”
Por: Mitsy Moncada
El pasado 14 de octubre, en el teatro de la Academia Militar del Ejército Bolivariano, con un aforo de más de 1000 personas, la Coordinación de la Maestría en Historia Militar, dirigida por el CN. y Dr. Carlos Sánchez Caparros, adscrita a la Universidad Militar Bolivariana, presentó el Documental "Ejército de Libertadores”, en conmemoración del 201 Aniversario del otorgamiento del título de Libertador al G/J. Simón Bolívar iniciando de esta manera el ciclo de Cine Foro Histórico en la ciudad de Caracas, que se replicará en diferentes entidades del país.
Cabe destacar que la actividad contó con la presencia del GB. Rodríguez Cabello, Rector de Universidad Militar de Venezuela, GB. Hernández Lares, Director de la Academia Militar del Ejército Bolivariano. También se hicieron presentes las máximas autoridades de la Sociedad Divulgadora de la Historia Militar en Venezuela
Los ponentes del cine foro, graduandos de la I Cohorte de la Maestría en Historia Militar, GB. Carlos Morera Aguilar, Tcnel. (R). Edgar Lugo Pereira, y la Ms. Mitsy Moncada, compartieron con las personalidades del ámbito cívico-militar una herramienta metodológica que facilitó y enriqueció el diálogo entre los asistentes, la mayoría cadetes y cadetas de las Universidades Militares del Ejército y Guardia Nacional Bolivariana.
Ejército de Libertadores es una producción audiovisual que estuvo dirigida por la periodista y Ms. Mitsy Moncada, el guión fue realizado por el Tcnel. (R) Edgar Lugo Pereira, especialista en Historia Militar, contó con la participación de talento venezolano y se realizó con el financiamiento de la Comisión de Responsabilidad Social (CONATEL).
En 20 minutos se logra transmitir un profundo contenido histórico de manera amigable, atractiva, moderna e interesante sobre los acontecimientos que conllevaron a la formación de un Ejército simplemente admirable y que llevaría los estandartes de la libertad, igualdad, justicia e independencia por siempre.
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